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"Cannabis récréatif" : une légalisation plébiscitée par une large consultation citoyenne
80 % se disent pour une autorisation de la consommation et de la production dans un cadre régi par la loi
Agence France Presse (AFP)
Lundi, 1 mars 2021Une large majorité des quelque 250.000 personnes qui ont participé à une consultation citoyenne sur le cannabis dit "récréatif" plébiscitent la légalisation de cette drogue dont l'usage est interdit en France, a-t-on appris de sources parlementaires. Quelque 80,8% des répondants se disent d'accord avec une autorisation de la consommation et de la production dans un cadre régi par la loi, selon les résultats de cette consultation lancée mi-janvier par une mission d'information parlementaire. 13,8% se déclarent favorables à une dépénalisation. A l'inverse, 4,6% sont pour un renforcement des sanctions et seulement 0,8% pour le maintien du cadre légal en vigueur. (Lire aussi: Interrogés lors d’une consultation citoyenne, les Français se disent partisans d’une légalisation du cannabis récréatif)
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ERC prepara un proyecto para la regulación del cannabis ante la falta de avances del Gobierno
La formación republicana catalana considera un "preso político" al activista cannábico Albert Tió, por la "criminalización" del movimiento de las asociaciones de usuarios a través del Código Penal y la Ley Mordaza
Público (España)
Lunes, 1 de marzo, 2021La legislatura avanza, ha pasado más de un año desde la toma de posesión del gobierno de PSOE y Unidas Podemos, pero no ha habido avances en la regulación del cannabis sobre la que se habían creado bastantes expectativas a raíz de la constitución de un ejecutivo de izquierdas. Y el malestar ha empezado a surgir entre algunas de las mismas formaciones que hicieron posible con sus votos ese gobierno, como es el caso de Esquerra Republicana, que ya se plantea pasar a la acción. La formación independentista catalana, con el quinto grupo más numeroso del Congreso y decisivo actualmente en la composición de mayorías parlamentarias progresistas, está estudiando ya la presentación en la Cámara de un proyecto de regulación del cannabis.
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Más Madrid propone la regulación responsable del cannabis en adultos
El grupo parlamentario estima que de esta forma se proteja a los menores "dificultando su acceso"
La Vanguardia (España)
Lunes, 1 de marzo, 2021El Grupo Parlamentario de Más Madrid en la Asamblea ha registrado una iniciativa mediante la que pide a la Comunidad de Madrid que exija al Gobierno de España que lleve a cabo una regulación responsable en adultos del cannabis. En concreto, se trata de una Proposición No de Ley (PNL) con la que pretenden que de esta forma se proteja a los menores "dificultando su acceso" al cannabis y derivar una parte de los ingresos recaudados a "la prevención en el consumo y a financiar los servicios públicos". Asimismo, creen que con esto se garantizaría la salud pública, ofreciendo un producto a los usuarios adultos que cuente con todos los estándares de calidad certificados, así como las libertades públicas de la ciudadanía adulta en el ejercicio de sus derechos como usuarios.
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Marruecos, principal productor mundial, legalizará ciertos usos del cannabis
Siempre con finalidad médica o industrial y excluyendo el uso recreativo
La Vanguardia (España)
Sábado, 27 de febrero, 2021Marruecos, principal productor mundial del cannabis, se dispone a legalizar ciertos usos "médicos e industriales" de la planta, según un proyecto de ley presentado hoy en el Consejo de Gobierno y que será previsiblemente aprobado la semana próxima. Tras varias décadas de prohibición absoluta, que mantienen teóricamente en la ilegalidad a cerca de 100.000 familias que viven del cultivo del kif, sobre todo en las montañas del Rif, Marruecos se suma así a una tendencia mundial de despenalización controlada, pero excluyendo los "usos recreativos". La ley establece que los agricultores que quieran pasar a la legalidad deberán formar cooperativas, que a su vez venderán su producción a una agencia nacional que tendrá el monopolio de la transformación y comercialización del producto final.
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Tunisie: un collectif appelle à la légalisation du cannabis
En 2019, 21,5% des personnes détenues en Tunisie l’étaient pour des infractions liées aux stupéfiants, en large partie pour une simple consommation de cannabis
H24 (France)
Samedi, 27 février 2021Un collectif a appelé à une légalisation du cannabis en Tunisie, où la stratégie essentiellement répressive et une loi contestée entraînent chaque année l’incarcération de nombreux jeunes fumeurs de joints. « Il y a un million de consommateurs, dont 400.000 réguliers, c’est presque un dixième de la population et plus de 30% des jeunes », a souligné Karim Chaïr, du Collectif pour la légalisation du chanvre (Colec), lancé en 2019 avec des associations et experts. « La légalisation peut diminuer la consommation, et donner des moyens financiers à l’Etat ». Le débat a été relancé par la condamnation en janvier de trois Tunisiens à 30 ans de prison chacun pour avoir fumé un joint, suscitant des appels à réformer une législation sévère.
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Le plaidoyer de l’Istiqlal pour une dépénalisation rapide des cultures du kif
Le parti a été le premier à avoir déposé, en 2014, une proposition de loi demandant "une grâce en faveur des cultivateurs poursuivis et la dépénalisation de la culture du kif"
Le 360 (Maroc)
Samedi, 27 fevrier, 2021L'Istiqlal a accueilli avec satisfaction le projet de loi sur la légalisation du cannabis à des fins médicales. Mais, ce parti d'opposition a appelé le gouvernement à dépénaliser le plus vite possible la culture de cette plante qui couvre quelques 73.000 hectares dans le nord du Maroc. "Le gouvernement est appelé à dépénaliser rapidement la culture du cannabis", a déclaré Noureddine Moudiane, le président du groupe parlementaire de l'Istiqlal à la Chambre des représentants. L’autre priorité pour le parti de la Balance, a-t-il souligné, porte sur "une amnistie pure et simple" au profit d'un total de 30.000 cultivateurs poursuivis par la justice pour "culture illégale du kif". Noureddine Moudiane estime qu'actuellement "tous les cultivateurs du kif sont en liberté provisoire".
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La légalisation du cannabis supervisée par une agence «placée sous la tutelle de l’Etat»
Le ministère de l’Intérieur, auteur d’un projet de loi en ce sens, entend créer une Agence, placée sous «la tutelle de l’Etat»
Yabiladi (Maroc)
Jeudi, 25 fevrier 2021Le Maroc veut rattraper son retard sur les pays ayant légalisé la culture du cannabis à des fins thérapeutiques et bénéficier ensuite des recettes financière. Le marché mondial de l’usage médicinal du cannabis «a connu une forte évolution». La moyenne de croissance annuelle, selon certaines prévisions, «est de 30% au niveau international et 60% en Europe». La légalisation ne signifie pas automatiquement une généralisation de la culture du kif sur l’ensemble du territoire. Après la publication du projet de loi au Bulletin officiel, un décret ministériel limitera les zones où cette activité fera l’objet d’une autorisation de l’Agence nationale de réglementation les activités liées au cannabis. (Lire aussi: Projet de loi sur le cannabis: les paysans devront se constituer en coopérative)
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¿Fracasó el programa de sustitución de cultivos ilícitos?
Mientras el Gobierno prepara retomar la aspersión con glifosato, cientos de campesinos pierden la esperanza de la legalidad. Solo el 2 por ciento de las familias en el PNIS han podido arrancar proyectos productivos diferentes a la coca
Semana Rural (Colombia)
Miércoles, 24 de febrero, 2021Con la firma del Acuerdo de Paz y la entrada en funcionamiento del PNIS, 99.097 familias campesinas que dependían de los cultivos ilícitos se vincularon en varias regiones para alejarse de esta economía cocalera. Sin embargo, y pese a que ya han pasado más de tres años desde que se puso en marcha el programa, las cifras de cumplimiento son lánguidas. De acuerdo con los reportes que hace la Consejería Presidencial para la Estabilización y Consolidación (antes Posconflicto), de las 99.097 familias vinculadas al programa, 74.366 han recibido pagos de seguridad alimentaria, 61.769 han recibido servicios de asistencia técnica y solo 1.792 cuentan con proyectos productivos en implementación, es decir, menos del 2%.
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Exclusif: ce que dit le projet de loi sur l’usage légal du cannabis
Un décret du chef du gouvernement sera adopté plus tard pour circonscrire les superficies de la culture du cannabis à six zones à travers le royaume
Le 360 (Maroc)
Mardi, 23 fevrier 2021Le360 a eu accès aux dispositions phares du projet loi sur usage légal du cannabis qui sera soumis au Conseil de gouvernement du jeudi 25 février 2021. La première législation du genre au Maroc n'autorise pas encore l'usage récréatif de cette substance. Le projet de loi sur la légalisation de l'usage légal du cannabis prévoit la création d'une Agence nationale spécialisée. Celle-ci sera la seule entité publique en charge de l'achat et de la vente de la plante à des sociétés l’utilisant pour des fins médicinales. "Cette agence nationale sera l'unique interlocuteur pour l'achat de la culture du cannabis auprès des paysans et la vente aux sociétés de transformation nationales et internationales installées au Maroc." (Lire aussi: Cannabis: comment l’Intérieur a coupé l’herbe sous le pied des partis)
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Les élections de 2021 relancent le débat autour de la dépénalisation du cannabis
Le PAM et l’Istiqlal appellent à la mise en place de solutions économiques efficientes et de mesures sociales alternatives réelles pour permettre aux paysans de la région de sortir de la précarité et de l’illégalité
Le 360 (Maroc)
Lundi, 22 fevrier 2021Le dossier du cannabis revient sur le devant de la scène politique et médiatique à l’approche des élections. Des voix politiques appellent à la légalisation de cette plantation et à la mise en place de plans d’accompagnement des paysans vivant du cannabis pour les sortir de la précarité et de l’illégalité. Plus de 30.000 paysans seraient recherchés pour des accusations liées à la culture du cannabis dans les régions de Bni Sdate, Ketama, Bni Khaled, Taounate, Larache, Ouazzan et Tétouan. Ces paysans vivent dans la précarité et l’illégalité. Le débat autour de cette problématique, lancé en 2008, a été renvoyé à plusieurs reprises aux calendes grecques. Mais à l’approche des élections, le dossier revient sur le devant de la scène politique et médiatique. (Lire aussi: Osons !)
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